Vous.
Oui,
vous qui, en ce moment même, êtes en train de lire cette page.
Ne
vous retournez pas.
C’est
bien de vous dont je parle.
Je
vais vous confier une mission.
Votre
mission, si vous l'acceptez, sera de pénétrer l'ESIAL (Hmm, Hmm...), enfin
l'infiltrer pour récupérer la pantoufle droite du tout puissant maître des
lieux planquée dans la boîte à idées.
Tout
d'abord, laissez moi vous présenter le lieu.
Eh
oui, c’est un drôle d’endroit, parsemé de pièges innombrables.
Vous
y trouverez aussi des individus qui pourront se révéler dangereux :
Le bestiaire de l’ESIAL
Vos
armes : un TX
Vos
coups spéciaux :
-
le lancer d'écran : fait très mal mais ne peut servir qu'une fois (c'est
qu'après, l'écran est bousillé). A réserver pour le big boss.
-
le tapotage de clavier : envoie des boucles infinies dans les cerveaux de vos
adversaires. Vous permet de les embrouiller et de passer inaperçu.
-
ce dernier coup est le plus puissant de tous : il vous permettra d'achever vos
ennemis. Je parle du... (Allez, devinez...) segmentation fault.
Vos
ennemis :
Les premières années :
On
pourrait dire que les premières années sont comme vous : paumés dans ce monde
de brute (de pomme). Ils forment cependant les rangs des armées de l'ennemi.
Traumatisés par leurs supérieurs, vous pourrez facilement vous infiltrer parmi
eux (Revanche, Revanche... !)
Les deuxièmes années :
Une
fois passés dans l'année supérieure, les élèves de l’ESIAL n’ont qu’une seule
idée en tête : traumatiser les pôv chtit 1A. (Revanche, Revanche... !)
Pour
cela, ils ont plusieurs armes :
-
le
bréviaire : sert à faire chanter les premières années et à favoriser
l'utilisation de la deuxième arme. On pourrait dire que cela "met dans l'ambiance".
-
la
boisson : permet d’affaiblir la vigilance des 1A. Leur permet ensuite de
faire des trucs inimaginables tel que montrer son c-l (je ne prononcerai pas le
mot), se mettre à poil ou encore faire un concours de celui qui vomira le plus
loin. Attention, ces derniers coups sont très puissants et il se peut que vous
ne surviviez pas à une exposition trop prolongée. Soyez vigilants.
Remarque : les deuxièmes années semblent présenter les symptômes
d’un manque croissant de demoiselles. Ces symptômes sont aussi divers que
variés. Ils passent par l’affichage de demoiselles en sous-vêtements ou bien
encore par la quasi-agression des rares nouvelles entrant à l’ESIAL (fifilles,
fifilles... !)
.
Faites d'autant plus attention si vous êtes du beau sexe.
Les troisièmes années : Supérieurs hiérarchiques des deuxièmes années, ils ont
les mêmes caractéristiques que ces derniers. Ils ont cependant plus de
bouteilles dans le ventre, beaucoup moins de voix et ils sont encore plus en
manque de demoiselles. (FIFILLES, FIFILLES…!!!
)
Les professeurs : Je ne pourrai malheureusement pas vous en faire une
liste exhaustive. Ils sont tellement nombreux que je ne vais vous citer que
l'un des plus dangereux. (il vous faudra sûrement l'affronter)
JPF
: son arme favorite est le cours de 8h à 10h qui endort ses ennemis. Il est
très puissant surtout si vous avez fait la bringue la veille. Faites attention
aussi à son cri qui réveille : il fait très peur.
Enfin,
le big boss, celui qui possède la clé de l'énigme (Rappelez vous, "La
vérité est ailleurs", et bien c'était lui), c'est La direction des études.
Son
arme favorite (Terrrrrrrrible!!!):
-
le (n-2)² (Je rappelle pour ceux qui ne le savent pas encore, que (n-2)² est le
nombre de points qui seront enlevés sur la note finale d'un module, n
représentant le nombre d'absences non justifiées. C'était le quart d'heure
scientifique de Sherlock...). Peut vous faire aller au rattrapage ou bien
encore vous faire rater votre année. Très, très dangereux.
Voilà
la présentation est achevée.
Je
n'irai pas jusqu'à vous recommander une extrême vigilance ainsi qu'une extrême
prudence. Je n'ose imaginer ce qu'ils vous feront subir si jamais ils vous
attrapent.
Je
vous souhaite donc bonne chance pour votre quête désespérée.
A
la semaine prochaine avec une rédaction un peu plus classique.
Patrice.Maratray.
PS
: Toutes ressemblances avec des
personnes existantes ou ayant existées est purement fortuite. Il n'était
nullement dans l'intention de l'auteur de choquer ou de faire référence à des
faits réels. Son seul but, délirer...
Toutes
mes excuses si besoin est.