Chez Patrice

Hello !

Coucou !

Oui, oui, c'est moi !

C'est Patrice.

Chuuuuut. Il faut pas qu'on m'entende.

Il y a un gros méchant loup derrière moi et je veux pas me faire manger.

Ahhhhh, il approche.

Mais. qu'est ce que c'est ?

Un chat !!!.

Fiouu, j'ai eu peur.

Bon, c'est donc à peine remis de mes émotions qu'aujourd'hui, je vais vous présenter :

Une journée à l'E.S.I.A.L.

(Oui, oui, on peut y passer une journée, c'est possible)

Première étape de la journée : se lever pour aller en cours.

Alors voilà, il est 7h55 et vous êtes en train de dormir. Vous sentez vos paupières devenir lourdes. Vous commencez à somnoler. Vous allez bientôt dormir. (Chouette, j'ai inventé la gazette qui hypnotise). Bref, vous êtes dans les bras de Morphée (Ahhh Morphée, quand je suis dans tes bras, que de bonheur, que d'extase, que de jouissance Hhmmm). Vous rêvez. Vous êtes sur la plage, avec des bras d'acier, des plaques de chocolat à faire rager de jalousie Schwarzihemeneger (C'est très difficile à écrire !!). De jolies demoiselles sont autour de vous. Vous roucoulez (J'ai trouvé le mot joli). Et là vous entendez une alarme de voiture qui se met en marche : Biiiiip, Biiiiip, Biiiiip.

Et là ! La plage et les jolies filles disparaissent en fumée et la dure réalité vous rattrape.

Votre radio - réveil sonne. Il faut se lever pour l'éteindre ; appuyer sur le bouton snooze qui arrêtera cette sonnerie d'enfer.

Voilà, c'est fait. Ahhhhhhhhhhhh, que ça fait du bien.

Maintenant, faut se lever. Après quelques essais infructueux pour retrouver ces belles demoiselles, vous décidez enfin de vous lever, de vous laver et de vous habiller.

Vous prenez le petit déjeuner et vous partez . enfin, vous mettez un pas devant l'autre. enfin vous faites un pas et vous vous arrêtez pour écouter ce qui se passe.

Enfin bref, vous allez à l'ESIAL gaiement, de bonne humeur et surtout plein d'entrain.

Deuxième étape de la journée : se mettre en place à l'école.

C'est donc après bien des péripéties (le chat de la voisine auquel il a fallu tordre le cou parce qu'il a miaulé toute la nuit, les voisins chez qui vous sonnez pour mettre un peu d'ambiance de bon matin .), vous arrivez à l'ESIAL (Ca y est, vous avez fait votre B.A. de la journée, souriez.) Il est . 9h50. (Oh flûte, j'ai loupé le cours de JPF, quel dommage !!!).

Là, deux options. Vous n'êtes un n'info : vous vous ruez sur un T.X. pour voir si vous avez reçu des mails et autre chose que l'on peut faire avec un appareil de ce genre.

Vous n'êtes un gentil prod : vous allez au troisième pour discuter avec les personnes déjà présentes.

Ding, dong : il est 10 h

Troisième étape de la journée : se ruer sur le pain au chocolat (Vous voulez des commentaires ?) Faut dire, on rue beaucoup à l'ESIAL.

Quatrième étape de la journée : apprendre les bonnes nouvelles !

Des fois, à l'ESIAL, les bonnes nouvelles tombent. Elles pleuvent par ci par là, on s'en reçoit sur la tête. Oui, vous savez les cours non prévus qui tombent l'après-midi même, ou encore les 50 heures de projet qui arrivent alors même que l'on a une semaine remplie de partiels et qu'il reste à peine une vingtaine d'heures de libres le soir après les cours sur la durée restante.

Voilà, c'était le paragraphe Chafouin de la semaine.

Cinquième étape de la journée : vous faites votre premier cours de la journée

Alors là, vous arrivez frais et pimpants, beaux comme des sous neufs (Non, c'est lavé avec Mir Laine), vous vous asseyez et vous vous mettez à suivre le cours.

Voilà.

C'est le cours.

C'est int.é.ré..ssan.t

Vo.u.s tr..an.ce..nd.ez de j..oi..e.

Ron fffffffffffle , Ron fffffffffffffffle

Ca y est vous dormez (Ouaiiiiiiiiiis, j'ai réussi !!)

Ding dong : il est 12h

Sixième étape de la journée : Manger .

Vous vous réveillez et, ça y est une flamme brille dans vos yeux. Votre estomac appelle la nourriture. Vos membres n'ont qu'une idée en tête : aller au RU. Votre énergie se décuple. Vous allez enfin pouvoir manger. Et c'est dans un élan de force que .

Que va-t-il se passer ? Arriverez-vous au RU sans vous tromper de chemin ? Ne rencontrerez-vous pas votre plus terrible cauchemar en la personne de notre cher DE ? (Anthony, si tu me lis, prends pas la mouche Bzzzzzz !, c'est pour rire.) Enfin, sortirez-vous vivants de cette terrible épreuve qu'est la digestion ?

Vous le saurez en lisant la prochaine gazette !

Ciao, à la semaine prochaine.

Patrice Maratray .

P.S. : Vous n'êtes pas sans savoir que l'ascension est proche de nous.

Mais voilà, les catholiques ne sont pas curieux.

Ca fait deux mille ans que Jésus monte au ciel et ils ne savent toujours pas si il est slip ou caleçon.